-
L'oubli, remède du coeur ?
eillée l'espérance, chassée la brume, pour rien ! "...
Le mal insidieux
Comment guérir ! J’aimerais oublier ce jour,
Oter de mon esprit les pensées qui harcèlent,
Jour dont la mémoire dessine les contours,
Images qui s’accrochent, me mettent sous tutelle !
Pouvoir remonter le temps de l’indifférence
Existence insensible aux blessures du cœur.
Se laisser porter, endormi, par l’indolence
Et suivre paisible le courant, sans douleur !
L’aveugle du néant a jeté les œillères .
Le destin malveillant décide seul du bien.
Pourquoi mes yeux dans l’ombre ont-ils vu la lumière
Réveillé l’espérance, chassé la brume, pour rien !
Révolte stérile d’une vie qui s’achève.
Le mal enraciné refuse d’abandonner
Une proie si facile envoûtée par ses rêves !
Oh ! Sans mémoire, ou dans l’obscurité, sombrer !
LASIDONIE
-
Commentaires
15murielm93Mercredi 14 Mars 2007 à 09:35trés belle poésie mais si touchante,et un peut triste je trouve quand même,mais touts ses mots et phrases son téllement bien écrite sur des rimes et vers!Passer une bonne journée ensoleiller bisous et a plus tard!RépondreIl faut tourner la page, même si le livre reste sur l'étagère, vivre avec et vivre autrement. BisousQuelle souffrance te pèse, mon amie, quel est le mal que tu voudrais oublier ?
Hélas nos maux inguérissables ne nous fuient pas, même si nous voulons les effacer, même si nous sourions à tous, même si nous semblons rire.
AmitiésJe rejoindrai suivre le courant sans douleur Sido. Se laisser porter à regarder ce qui est beau. Car chacun de nous avons un fardeau qu'il nous faut dépasser pour pouvoir survivre. Ta poésie est de plus en plus belle. Merci Sido
Je t'embrasse
La brume en carapace, les douleurs effacées, juste le temps d'un rêve, le temps de s'apaiser !Il y a des douleurs bien enracinées, estompées parfois, puis qui reviennent ,hélas . Ce texte qui l'exprime est magnifique .
Bonne soirée
le souvenir peut s'enfouir mais se reveiller...tres joli poeme.Te souvenir...
De ces moments si fugaces
De ces fragments de bonheur
Agrippés au passé, tenaces
Reliques d'odeurs, coups de coeur
Te déshabiller...
De ces ombres trop présentes
Qui t'enserrent les chevilles
Elles t'empêchent d'être résistante
Te feront basculer dans la folie
Te relever...
En t'obligeant à plisser les yeux
Dans un sourire radieux, éclatant
Pour expliquer un jour ce courageux
Retour dans le monde des vivants
Je t\\\'embrasse Sido.Bonjour Sido,
durs écrits :( pas facile d'oublier !
tu m'as fait sourire avec ton com, et Bellelurette est repassée derrière :)
Bises et bonne journée.
Joël.
Et pourtant, il faut oublier,sinon il n'y a pas de remède !Encore faut il pouvoir oublier tres joli poème ...Bisous
Ajouter un commentaire