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Une pensée
Je vis dans un quotidien extrèmement difficile, j'arrête ce blog pour l'instant. Merci à tous.
Sido
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Commentaires
18Salamone GiuseppeSamedi 26 Janvier 2013 à 14:40Bonjour Sido,
je viens vous délivrer de votre enfer, vade retro satanas, et je vous sort des flammes. Humour; je vous souhaite bon courage et vous laisse la lecture de mon poème. Ne le lisez pas si ça vous lasse.
Le corps et l'esprit
J'y vais, je me lance, je vais vous parler de mon corps,
J'ai bien dit mon corps et non mon coeur ou mon cor.
Tiens ! Je n'entends soudain plus que votre silence, surpris !
Surpris l'est aussi mon esprit, car il pense ô oui il rougit.
Mais vous aussi, vous aviez senti cette gêne, cette aphatie.
Il est parfois dur de se dire que le temps nous engloutit
Vous ne trouvais pas! Hélas, moi oui et je pense, je pense,
Je pense à la vie, à notre insipide négligence, à l'absence.
Je m'y accroche et je reviens à mon corps, à mon esprit,
A tous ces organes intérieures qui nous chagrinent, j'en ris !
Vous ne trouvez pas que c'est drôle. Drôle quoi ? Eh bien !
Eh bien, ce que je vous dis, nos corps, nos esprits, nos liens.
Ces liens, qui nous unissent les uns aux autres, liens corruptibles,
Ô et puis à quoi bon vous dire ce que je ressens, c'est audible,
Audible de l'extérieur, visible tels les stigmates cloués sur la croix.
Du Christ ! Oui je crois que vous avez compris, mais moi toujours pas.
Je m'amuse le voyez-vous, avec mes maux, avec nos fardeaux,
C'est l'âge! Si vous me le dites, c'est l'âge et on devient hideux.
Mais vous s'avez on prend, des maux de la tête, non pas les mots,
Ces mots, Ces rimes, ces phrases qu'on a pu se dire tantôt.
Vous croyez que je déprime, vous croyez que je m'abime,
Foutaise! Vous n'avez rien compris, au contraire cest sublime,
J'acquiesce, et puis le savez-vous les douleurs ça passe,
Ca suit les vents, ça parcourt les monts, ça se repose sur une place.
Les maux, le corps, l'esprit, à vous je l'avoue, sa grise !
C'est comme si notre conscience voulait se faire la valise,
Ca vous inquiète, moi pas ! J'en prend soin, je la bichonne,
Oui je l'écoute de temps en temps, ô mais vous ça vous chiffonne.
Le corps, l'esprit, la douleur, la vie. L'âme s'en va, c'est la mort.
Encor une page qui s'efface, un sentiment de vide remplis mon coeur,
Et le temps passe, le brouillard parachève l'agonie de l'aurore,
Un brouillard que rien ne disperse et pourtant le soleil brille dehors.
Courage à vous et bonne soirée.
Le 13 juillet 2007
Giuseppe
Je t'amène la douceur d'un arc en ciel pour donner de la couleur à ton noir du moment...BisousCourage, ne nous lâche pas, on a besoin de toi , tu sais combien vont nous manquer tes poésies .Peut-être que s'arrêter un petit moment permettra de te ressourcer et nous revenir plus vaillante .Je dois dire que je ne suis pas trop brillante moi même sur les blogs en ce moment, ni même à la participation des consignes d'écriture .Reposes toi bien et reviens nous. BisesCoucou et bonjour SidoGros,gros bisous, pour ces deux jours. Qu'ils te doient favorables ! Bises !!Bon week-end ! bisous ! christelJe t'envoie plein d'ondes positives pour que tu retrouves ta joie de vivre
Gros gros mimis
Amicalement
BéatriceTu nous manquera Sidonie ! on t'attends, reviens nous en forme. Bon W.E du 14 Juillet.Quel dommage de ne lpus te lire, j'espère que cela s'arrangera....je t'envoie un souffle de poèsie... bise amitiéau contraire accroche toi au blog!!! c'est ce que je fais! ça m'empeche de couler!!! accroche toi à nous!En cas de besoin, ou juste si tu en as envie , tu as mon mail... gros bisous et courage , christel
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