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Suivre Jonathan le goéland.
Un très beau livre, un bel hymne à l'apprentissage de la liberté, un appel au rêve : "Jonathan le goéland" chemine vers la lumière après bien des épreuves.
Comme une forte envie de le suivre...
Si tu as vu là-bas planer le goéland
Jonathan,
Retiens le je t’en prie
J’aimerai partir sur ses ailes dans le vent
Vers les nues infinies
Découvrir avec lui des mondes moins hostiles
Où finit l’océan.
Je suis en grande lassitude, ma vie, fragile !
J’entends encore le chant
D’une autre liberté, mon ultime voyage,
Crois-tu, le voudra-t-il ?
Je serai douce, muette, porte lui ce message,
Que vienne mon exil !
Hélas, amie, j’ai vu filer le goéland
L’impatient Jonathan !
(14-12-07)
LASIDONIE
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Commentaires
Laisse filer le goéland et sa course aller sans retour, je te prête Pégase il te ramènera vers nous, à bientôt Lasidonie, bisousj'aimerai aussi m'envoler sur les ailes du Goëland , qu'il m'emporte haut vers le bleu du ciel et au dessus de la mer
BisousMais non, faut pas suivre Johathan Le Goëland, tu vas nous manquer, reste avec nous.
Très beau texte et la photo est magnifique.
Bon jeudi et bisous de ta p'tite cousine du Québec.Ici avec Jonathan, comme chez moi, toujours ton écriture si pleine d'humanité et de tendresse pour les petits d'homme et de femme. Merci de nous offrir ces espaces d'écriture où nous pouvons nous essayer à vivre debout ou presque (sourire). Amitiés. michel.Ah ! Les petits Savoyards ! Hugo en parlait. Et bien des auteurs du XIXème.Merci pour ton message et longue vie à tous les goélands.Il me semble qu'il existe aussi le film ... La photo est magique. A+Toujours excellent.
As-tu reçu mon message envoyé hier ? Mon serveur m'a retourné une note en anglais et je me demande si un blocage n'a pas eu lieu.Et tu nous priverais de tes si émouvantes poésies, Lasidonie ?!
Tu as bien le temps de chevaucher le vent de l'ultime voyage...
Je sais que je manque de constance dans mes visites à ton Univers, mais, lorsque je m'y pose, j'en repars toujours nourrie...
Je te laisse une plume soyeuse de tendresse, Alice.ferme les yeux Sido, et quand tu les rouvriras, tu verras Jonathan qui fait demi-tour, il revient te chercher pour un beau voyage dans les airs :))Te voilà revenue, Sido, je suis passée souvent, et depuis trois jours j'avais un peu renoncée. Et puis là ces trois poèmes qui viennent avec leur tristesse me marcher sur le coeur. Mais si tu es là, même pour raconter ces sanglots qui secouent tes vers sur les ailes d'un goeland, c'est que les mots te reviennent et nous reviennent aussi, et c'est une joie qui renaît.
mille bisous.
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tes mots m'ont touché