Superbe plume et beau poème
C'est avec plaisir que je découvre ton blog, j'y reviendrai avec plaisir
Bonne soirée
Kim

Et sa peine, ainsi de la mienne.

Tombe couperet. Merci.

Comme Renaud, j'ai bien perçu l'allégorie baudelairienne contenue dans ces lignes de haute volée, c'est un hommage bien appuyé et mené de main de maîtresse, Sido !

Les émotions sont subtiles, elles montent directement à l'âme du lecteur et parlent au cœur, parce que les mots viennent du cœur.

Amicales pensées

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Ton poème rappelle irrésistiblement l'Albatros de Baudelaire que nous devrions tous connaître par coeur puisqu'il compare le poète "au prince des nuées"

Je pense effectivement que le poète tient de l'oiseau de mer.il est solitaire, a besoin d'espace, chérit généralement la mer, ses bruits et le silence.

L'un et l'autre sont souvent pris pour cibles.

Léo Ferret l'a bien chanté:

http://www.youtube.com/watch?v=Q46KCNksq9E

J'ai beaucoup aimé suivre le vol de ce bel oiseau blnc en suivant tes mots

Je ne sais pas si les animaux ressentent la vieillesse comme nous, mais il semble mieux la porter.

quel bel oiseau  mais mieux vaut ne pas s'aventurer pendant la tempête

Bel hommage. Tes poésies sont toujours autant magnifiques. J'aime beaucoup tes mots.

J'aimerais pourtant être cet oiseau blanc.... Petit passage rapide, fête de famille chez nous aujourd'hui et beaucoup de préparatifs. Je pars ensuite quelques jours sans mon PC et si je peux vous visiter sur mon mobile, je  ne pourrai faire de commentaires sur vos blogs. Des articles sont programmés sur mes blogs. A bientôt. Bises