• Chemine le ruisseau, s'immobilise la pensée


     





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    Rien, rien que de l'imperceptible,
    Un  souffle dans les feuilles, léger,
    Le bruissement d'ailes moirées
    Du papillon en promenade
    Le frôlement sec d'un insecte
     A la surface du miroir
    Qui trouble à peine le dessin
    De cet univers à l'envers
    Rien, rien d'autre que le pouvoir
    Du  généreux soleil de mai
    Sur les épaules nues offertes
    Rien rien d'autre que savourer
    La mise en suspens des mornes pensées,
    Et l'apaisement du coeur, indicible !

    Lasidonie
    « L'accro de la "Net-communication"La jeune fille (aquarelle) »

  • Commentaires

    7
    Maria-D
    Samedi 26 Janvier 2013 à 14:32
    ... et le miroir m'a dit... les arêtes du réel dessinées dans le ciel...

    C'est si beau Sido... merci pour vos mots... que dimanche vous soit beau
    6
    O.
    Mercredi 13 Mai 2009 à 18:58
    Voilà un bien beau poème agtéablement illustré
    5
    Dimanche 10 Mai 2009 à 13:51
    J'aime cet imperceptible, ce frôlement, ces instants magiques que tu nous offres.
    4
    Vendredi 8 Mai 2009 à 21:18
    On sent tes mots avec ce regard triste , comme si même si c'est beau, il n'y avait plus que ceal, et je comprends le fil de tes pensées
    Bisous Sido, que ces regards se prolongent au moins pour ne pas rompre tes mots toujours si beaux
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    3
    Vendredi 8 Mai 2009 à 14:57
    J'aime cette idée du reflet dans l'eau comme "'un univers à l'envers"...

    bise
    alainb
    2
    Vendredi 8 Mai 2009 à 10:17
    Si tu t'appelles mélancolie......


    Beau poème. Bises et belle journée à toi.
    1
    Vendredi 8 Mai 2009 à 09:12
    Un instant de liberté arraché à un coeur tourmenté...
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