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Les surréalisme, ecrivit A. Breton "repose sur la toute puissance du rêve" .
Plus prosaïquement Pierre Darc écrira " le rêve a été inventé pour qu'on ne s'ennuie pas pendant le sommeil".
Du plus littéraire au plus humoristique toute une gamme de bons mots sur ce qui donne couleur à nos vies.
Un petit florilège à partager
" ""Plus je vieillis, plus je vois que ce qui ne s'évanouit pas, ce sont les rêves"
J. COCTEAU
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"Un rêve sans étoile est un rêve oublié"
P. ELUARD
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"Le rêve est l'aquarium de la nuit".
V. HUGO
***La Ste Victoire-Aix en Provence-
Si ton rêve se réalise c'est qu'il n'était pas assez beau
Proverbe CHINOIS***
Si j'en crois la sagesse chinoise mon rêve le plus tenace doit être trop beau !...
LASIDONIE
10 commentaires -
Il était 7H15, un regard, encore ensommeillé, par la fenêtre...
Aux marges de la raison
Aux frontières du rêve
La limite est si infime
Qui se plait à nous conduire
De l’impossible à dire
Au possible à écrire !
Les mots messagers du soleil
Se mettent à chanter
En étonnantes vibrations
Sans musique aucune
Les merveilles du réel
Aux ondoiements flammés
Et le lever d’un jour
Dans les cœurs embrumés
Lasidonie
18 commentaires -
Quatre vers en commentaire pour une image de Michel GONNET link m'ont donné l'envie d'en compléter l'écriture. L'illustration m'a été offerte par Alain BARRE : ici link
que je remercie et dont je recommande le site aux amoureux des grands voyages.
J’ai cru
Photo A.Barré
J’ai cru voir un signe dans un berceau d’azur
Protégé des assauts de bien tristes nuages
Des ailes insouciantes en avaient fait leur page
Et d’un vol dessinaient un chant d’amour obscur
La trouée dans le bleu semblait être une invite
A partager l’espoir d’un futur renouveau
« Sous un autre soleil », semblait dire l’oiseau
« Jamais, pour un autre aimer, le cœur ne s’effrite .»
Doit-on croire les signes des oiseaux, en somme ?
Voyageurs de l’espace, amoureux incertains
Aujourd’hui une branche, puis l’autre demain.
De là haut que savent-ils de l’amour des hommes !
Photo Alain Barré
Conduits par leur instinct, ils tracent leur chemin.
Petit Prince du conte reconnaît sa rose
D’autres ont dans leur cœur tant d’eau qui se dépose
Qu’elles n’entendent plus de l’oiseau le refrain.
Mes yeux cherchent en vain cette éclaircie promise,
Se voile à mon regard le fenestron bleuté,
Il pleut sur les roses, dans les jardins fripés,
Le ciel a étendu sa couverture grise.
Un orage puissant charge furieux l’éther
Roulant, tonitruant sa partition funeste
Mais j’ai cru voir dans une zébrure le zeste
D’un bleuté envoilé et de signes offerts.
(Photo montage sido )
LASIDONIE
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