• Laissons le luth chanter les jours heureux

    Qu’il ennuage d’oubli les tristesses

    Qu’il vibre en nos silences et puis nous berce

    D''émois mélodiques doux, merveilleux.

     

    Lorsque s’éteint le feu de ma mémoire

    Qu’une musique ancienne pour rêver !

    O luth  que ton accent rare, enjoué

    Eclaircisse de ma vie le grimoire.

     

    Transportés par le chant intemporel

    Les blessures se ferment, la Paix s’installe

    Le cœur dans l' harmonieux fait une escale

    Mon être se réveille au sensuel

     

    La vie renaît en toute nonchalance

    Désirs fondus en tendres vibrations

    Lorsque de nous le mal prend possession

    Confions au  luth nos rêves de romance.


     

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    LASIDONIE

     









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  •   Une parution lançée, puis retirée, l'état d'esprit ayant changé...Ce poème résonne bizarrement aujourd'hui : Je ne peux que penser à l'actualité et à INGRID B.  qui a toujours su, eut le courage, de dire : " la vie, je t'aime". A côté de cela mes mots sont bien dérisoires !

    Sur ce  même thème deux écrits différents. Celui-ci, libre. Le suivant, classique, dans quelque jours.


     

    J’aimerais pouvoir écrire

    J’aimerais pouvoir le prendre

    J’aimerais pouvoir le dire

    J’aimerais le murmurer

    J’aimerais pouvoir  le vivre

    Chaque journée le je t’aime.



     

    Conditionnel antérieur

    Conditionnel au futur

    Conditionnel imparfait

    Conditionnel inventé

    Conditionnel fait pour vivre

    Encore un nouveau je t’aime.

     

    Je conjugue les temps

    Je conjure le temps

    Je conjugue néant

    Je conjure l’oubli

    Et ne vis qu’en courant

    Après un je vous aime.


     

    LASIDONIE

     


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